
Le durvalumab, anticorps monoclonal anti-PDL1, a obtenu l’AMM fin 2018 pour le traitement du cancer bronchique non a petites cellules localement avancé et non opérable n’ayant pas progressé a la fin de la radiochimiothérapie concomitante a base de platine (sous réserve d’un état général préservé et d’une expression tumorale de PD-L1 >= 1%). A ce jour, la place de la TEP/TDM au 18F-FDG dans l’évaluation de ces traitements n’est pas définie. Nous illustrons notre expérience au sein du service de médecine nucléaire de l’hôpital universitaire Avicenne a travers le suivi en TEP de 15 patients traités par durvalumab. La TEP a montré son utilité dans ce contexte en permettant d’identifier les profils évolutifs sous traitement et les toxicités, permettant une personnalisation de la prise en charge des patients.